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Ce contenu est une compilation d'articles de l'encyclopedie libre Wikipedia. Pages: 39. Non illustre. Chapitres: Gouvernement tibetain en exil, Ministre tibetain, Premier ministre tibetain, Roi du Tibet, Administration centrale tibetaine, Charte des Tibetains en exil, Politique du Tibet, Tsarong Dzasa, Periode Phagmodrupa, Samdhong Rinpoche, Lukhangwa, Parti democratique national du Tibet, Liste de rois du Tibet, Songtsen Gampo, Lobsang Tashi, Lobsang Sangay, Trisong Detsen, Langdun, Livre vert, Kalon Tripa, Jetsun Pema, Namri Songtsen, Tride Tsuktsen, Paljor Dorje Shatra, Tashi Wangdi, Phuntsok Tashi Takla, Tri Ralpachen, Premiers ministres tibetains, Mangsong Mangtsen, Tenzin Namgyal Tethong, Dusong Mangpoje, Thothori Nyantsen, Gyalo Dhondup, Sholkhang, Langdarma, Nyatri Tsenpo, Lobsang Nyandak, Sadnalegs, Tagbu Nyasig, Changkhyim, Drigum Tsenpo, Mune Tsenpo, Lhazang Khan, Gungri Gungtsen, Mutik Tsenpo, Zanam Zinde. Extrait: L'Administration centrale tibetaine (ou Central Tibetan Administration - CTA), connue plus generalement sous l'appellation de Gouvernement tibetain en exil, est le gouvernement en exil conduit par le 14 dalai-lama, Tenzin Gyatso et installe a Dharamsala en (Inde). Il se donne pour mission de prendre en charge les refugies tibetains et de - restaurer la liberte au Tibet -. Des l'arrivee des Tibetains en Inde, le gouvernement indien leur a donne un large degre d'autonomie dans la conduite des affaires internes de leur communaute, permettant au gouvernement tibetain en exil de gerer programmes sociaux, impot volontaire, ecoles, perspectives d'emploi, et d'autres aspects. Aucun pays, l'Inde y compris, n'a officiellement reconnu a ce jour le gouvernement tibetain en exil. En 1966, selon Claude Arpi, l'Inde avait pris la decision de reconnaitre le gouvernement tibetain en exil au retour du premier ministre indien de Tachkent, mais celui-ci y succomba d'une crise cardiaque. Selon Astrid Fossier, aujourd'hui, seule l'Inde, qui a accorde en 1959 l'...
